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11/01/2015

Relevé la Chapelle Basse Mer

Photo MAM.jpg

Les plaques nominatives, support de la recherche sont les suivantes.

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La Chapelle Basse Mer comptait en 1911, 2584 habitants et 106 sont inscrits au monument aux Morts de la commune, soit 4,10% de la population.

Pour le fichier complet, cliquez sur le lien suivant : Relevé La Chapelle Basse Mer.xls

Relevé Joué sur Erdre

MAM Joué sur Erdre.jpg

Les plaques nominatives, support de la recherche, sont les suivantes :

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La Commune de Joué sur Erdre comptait 2806 habitants en 1911. Avec 85 inscrits au Momunent aux Morts, il s'agit de 3,03% de la population totale.


Pour télécharger le fichier complet, cliquez ici : Relevé Joué sur Erdre.xls

30/12/2014

Relevé Haute Goulaine

Haute-Goulaine, commune de la proche périphérie nantaise.

 

Le Monument aux Morts se trouve dans le cimetière communal.

Plaque nominative du Monument aux Morts de Haute-Goulaine, aimablement reconstituée par Daniel Ruis, qui une nouvelle fois, je remercie.

La Commune de Haute-Goulaine comptait 1579 habitants en 1911. Avec 67 inscrits au Monumentt aux Morts, il s'agit de 4,24% de la population totale.


Le fichier complet est à télécharger, comme d'habitude en cliquant sur le nom de fichier suivant : Relevé Haute-Goulaine.xls

Une nouvelle fois, un grand merci à Daniel Ruis pour sa disponibilité.

 

29/12/2014

Relevé Carquefou

Carquefou, dans la proche périphérie nantaise.

Localisation.JPG

Le monument aux Morts de Carquefou est à proximité de la Mairie.

Photo MAM Blog.jpg

Les plaques commémoratives, support de la recherche, sont les suivantes :

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Le fichier du relevé du Monument aux Morts de Carquefou est disponible au bout de ce lien : Relevé Carquefou.xls

Avec 107 inscrits au Monument aux Morts et 2659 habitants en 1911, il s'agit de 4,10% de la population totale.

10/10/2014

Etude Statistique sur les Nantais non inscrits au Monument aux Mort

Au-delà des 5832 noms inscrits sur les Tables Mémorielles de Nantes (http://www.archives.nantes.fr/PAGES/DOSSIERS_DOCS/monument_aux_morts/page2_listes.html), qui font office de Monument aux Morts de la commune, il existe 536 autres noms, qui sont fournis par la Base Gabory, ainsi qu’à partir de relevés personnels.

Ces 536 noms sont pour la plupart des non Morts pour la France, mais ils sont tous décédés, directement ou indirectement des conséquences de la Grande Guerre. Le fichier est bout de ce lien : Liste Générale.xls

L’amplitude chronologique de cette étude s’étend du 07/09/1914 au 11/12/1925.

Chacun de ces noms a fait l’objet d’une recherche systématique sur le site des Archives Départementales de la Loire Atlantique, pour obtenir des informations à partir des fiches matricules(http://archives.loire-atlantique.fr/jcms/chercher/archive...)

A partir de cette étude, deux grandes tendances se dessinent : les militaires réformés et les militaires non-réformés.

Au-delà, une étude peut être menée sur les décès après 1919, afin de mettre en relief la surmortalité masculine, après la date officielle de la fin des combats sur le front occidental.

Sur les 536 noms recensés, 270 sont des militaires réformés, soit 50,37%. Le fichier nominatif est au bout de ce lien : Liste Générale Réformés.xls

Evolution des décès  Réformés.JPG

Au-delà de l’année 1918, ce sont les années 1920, 1921 et 1922 qui accusent le plus grande nombre de décès. Cela met en relief une nette surmortalité masculine après-guerre pour la commune de Nantes.

La moyenne d’âge de décès de ces militaires réformés est assez basse avec 34 ans.

Intéressons nous maintenant aux causes des réformes qui sont le plus souvent aussi la cause des décès.

Tableau Cause Réforme.JPG

Graphique Cause Reforme.JPG

 Avec 43,33%, la tuberculose pulmonaire est la première cause de réforme et de décès.

Il ne faut pas perdre de vue que la tuberculose était très répandue en France avant la Première Guerre Mondiale.

La population jeune était très touchée et la plupart avait fait une primo infection spontanée. Guérie dans 90% des cas, le bacille reste tapi, vivant, dans un ou deux ganglions lymphatiques.

Dès que l’immunité baisse, la tuberculose se réactive et devient « une tuberculose maladie ».

 

A l’époque, il n’est donc pas étonnant que des soldats ayant vécu dans des conditions particulièrement dures aient baissé leur garde immunitaire et réactivé cette infection latente.

 

Les symptômes :

Température, altération de l’état général, difficultés respiratoires allant jusqu’à la pneumonie.

Création de cavités pulmonaires.

Affectations osseuses.

Affectations organiques y compris du cerveau.

 

 

Contagiosité :

La contagion se fait par voie aérienne : toux et expectorations.

Entre 1894 et 1902, sur un contingent de 4 millions d’hommes déjà incorporés, l’administration militaire  en a rayé 36000, réformés ou morts, pour raison de tuberculose.

Or avec le besoin permanent d’hommes, la plupart des tuberculeux réformés en temps de paix sont incorporés ou « récupérés » par la France en guerre.

Les conditions de vie au front sont idéales pour que la maladie s’aggrave ou se transmette à d’autres.

Les catégories de réformés :

Il existe deux catégories de réformés.

Les militaires ayant contracté la maladie au service commandé bénéficient de la « réforme n°1 » avec pension.

Les militaires dont la maladie était antérieure à l’incorporation sont « réformés n°2 » sans pension.

Comme énoncé précédemment, il est difficile de savoir si les militaires réformés ont attrapé la tuberculose au front compte-tenu des conditions sanitaires déplorables ou les dites conditions sanitaires n’ont fait qu’accélérer un processus déjà engagé.

Paradoxalement les blessures de guerre et handicaps associés ne représentent « que » 7% des soldats réformés.

Ce qui est tout à fait remarquable est le laps de temps relativement faible entre la réforme et le décès qui s’élève à 2,6 années.

 

Quant aux militaires non-réformés, ils sont 266, soit 49,63%. Le fichier nominatif est disponible au bout de ce lien : Liste Générale Non Réformés.xls

Inconnue

128

Tué à l'ennemi

41

Maladie

10

Détention

8

 

Graphique Cause Non Reforme.JPG

A la lecture de ce graphique, il apparaît clairement que pour 48% des soldats non-réformés, nous ne connaissons pas la cause du décès.

Quant aux tués à l’ennemi, ils sont 41, mais ne figurent pas au Monument aux Morts de Nantes, pour des raisons qui m'échappent encore.

 

Evolution des décès  Non Réformés.JPG

Quelque soit la cause, on note une forte proportion des décès des militaires non-réformés entre 1918 et 1920, soit deux années après la fin des hostilités sur le front occidental.

Comme pour les militaires réformés cela représente une nette surmortalité masculine après la fin des combats.

 

Qu’il s’agissent des militaires réformés ou non-réformés, on a pu noter à travers cette brève étude statistique, une forte surmortalité à partir de 1919. Les effets de la guerre se sont faits sentir à Nantes, au moins jusqu’en 1925.

Les militaires décédés après 1919 sont 292 sur 536, soit 54,48%

189 réformés soit 64,72%.

103 non-réformés soit 35,28%.

Parmi les causes de décès, nous retrouvons la tuberculose pulmonaire avec 96 cas, les conséquences de la captivité de guerre avec 10 cas et les blessures de guerre, avec 8 cas.

Ces 3 causes représentent 60% des décès.

 

Après cette étude des 536 noms des militaires nantais non inscrits au Monument aux Morts de Nantes, dont la plupart son issus de la Base GABORY, il en ressort que :

 

-1- Plus que 50% d’entre-eux sont des militaires réformés parmi lesquels la tuberculose pulmonaire a fait des ravages.

 

-2- Quant à ceux qui n’ont pas fait l’objet d’une réforme, la cause du décès est plus difficile à déterminer.

 

-3- Ces chiffres ont mis notamment en lumière la surmortalité consécutive à la guerre, qui se fait ressentir jusqu’en 1925.

 

23/08/2014

Liste Complémentaire Nantes

Après avoir compilé les différentes sources que sont le Monument aux Morts de Nantes, ainsi que la base Gabory et consulté les registres matricules sur le site des Archives Départementales de Loire Atlantique, il en ressort que 536 noms peuvent être ajoutés.

Ils ne sont pas tous Morts pour la France, loin s'en faut, mais cela prouve une forte surmortalité masculine entre 1919 et 1925.

Entre ces deux dernières dates, ce sont 292 hommes décèdes. Les causes sont en cours d'analyse, mais je suis en mesure de vous fournir une liste brute : Liste Complémentaire Nantes.xls

15/11/2013

Lieux de Sépultures MPLF Derval

Bonjour à toutes et tous,

Afin de rendre un petit service à une personne qui le mérite bien et très impliquée dans la vie de la commune de Derval, je vous demande, dans la mesure du possible, de bien vouloir me faire les clichés des sépultures du fichier joint : Lieux de Sépulture Derval.xls

Je vous remercie toutes et tous pour l'aide que vous vous voudrez bien m'apporter.

23/09/2013

Quelques statistiques

Tous les chiffres mentionnés ci-dessous doivent être considérés comme des ordres de grandeur et non pas des chiffres exacts. Je ne veux pas vous donner ces chiffres comme ceux gravés dans le marbre et je suis ouvert à toutes les critiques.

-1- Données générales.

Le graphique général des décès des soldats de Loire Inférieure par année entre 1914 et 1918 est conforme à celui des pertes des armées françaises pour la même période.

Evolution décès.JPG

Le nombre total des décès est évalué à 27537 entre 1914 et le milieu des années 1920.

Pour la période de la guerre proprement dite (août 1914 – fin 1918), on recense 25928 décès pour la Loire Inférieure.

1914 : cette année est comparativement la plus meurtrière. La Loire Inférieure compte 5710 décès pour 5 mois de conflit.

Pour la bataille des Frontières, notamment en Belgique (Maissin, Bièvre), on recense 1050 décès. Quant à la bataille de la Marne, elle engendre à elle seule, 846 morts. 

Ces deux épisodes guerriers sont à l’origine du 1/3 des morts pour la seule année de 1914.

1915 : cette année est considérée comme celles des offensives de grignotage et des premières grandes bataille de matériel.

Pendant la Première Bataille de Champagne du 16/02 au 17/03/1915, on enregistre 563 décès.

En juin 1915, les combats de Tracy le Mont et de Quennevières dans l’Oise sont le cimetière de l’infanterie de la Loire Inférieure (notamment le 264 RI) avec 1110 décès sur un très court laps de temps.

La nécropole nationale de Tracy le Mont concentre une grande partie de ces soldats morts pour la France, lors de cette période.

La première bataille de matériel avec la deuxième bataille de Champagne, qui débute le 25/09/1915, voit la perte de 1194 soldats.

Parmi les images marquantes, on retiendra celle du Colonel Desgrées du Lou portant le drapeau du 65 RI avant de tomber sous les balles ennemies.

Ces trois combats ont fait 2867 victimes, soit près de 40% des pertes enregistrées pour l’année 1915.

1916 : cette année résonne comme celle de la Bataille de Verdun et secondairement comme celle de la Somme.

Entre le 21/02 et le 14/12/1916, au nord de Verdun, dans les ravins et collines meusiennes, les soldats de Loire Inférieure ont laissé 4500 des leurs sur le terrain ou dans les ambulances de l’arrière.

Concernant la bataille de la Somme, les soldats de Loire Inférieure ont été moins engagés, comme l’ensemble des armées françaises, partageant le poids de la bataille avec les alliés britanniques. Il n’en reste pas moins que 1320 soldats ont perdu la vie lors de cette bataille.

1917 est l’année la moins meurtrière avec 3122 décès. Toutefois, la bataille du Chemin des Dames a coûté la vie à 970 soldats de Loire Inférieure.

1918 est celle des grandes offensives allemandes sur le front ouest à partir du 21/03/1918. Les soldats de Loire Inférieure se sont particulièrement illustrés lors de la Seconde bataille de la Marne avec 535 décès entre le 15 et le 20/07/1918.

La nécropole nationale du Prieuré Binson à Chatillon sur Marne rassemble en grande partie, les sépultures issues de ces combats.

 

 -2- Analyse détaillée par commune.

La moyenne par commune des Morts pour la France pour la Loire Inférieure est de 4,26% de la population totale. Ces calculs ont été faits à partir des résultats du recensement de la population de 1911.

Liste communes population 1911 Loire Atlantique.xls

Le fichier ci-dessus montre quelques anomalies statistiques. Je ne parviens pas m’expliquer les pourcentages particulièrement élevés de Saint Joachim (13,28%) et Le Temple de Bretagne (12,27%).

100 communes de Loire Inférieure ont un taux de perte compris entre 4 et 5 % sur 222 communes.

Nantes présente un taux de perte de 3,99%, un peu en deçà de la moyenne départementale.

Aucune partie du département ne semble plus touchée qu’une autre.

28/08/2013

Relevé Le Temple de Bretagne

Je mets en ligne le relevé du Temple de Bretagne, même si celui-ci est loin d'être complet.

Localisation.jpg

Le Monument aux Morts se situe à proximité de l'église.

MaM Blog.jpg

La plaque nominative, difficilement lisible, est la suivante.

Plaque.jpg

Dans l'église, deux plaques, plus facilement déchiffrables.

Plaque église 1.jpg

Plaque église 2.jpg

Le relevé du Monument aux Morts du Temple de Bretagne, très incomplet est disponible au bout de ce lien : Relevé Le Temple de Bretagne Blog.xls

Avec 61 inscrits sur les différentes plaques et 497 habitants en 1911, il s'agit du chiffre un peu "élevé" de 12,27%.

01/08/2013

Relevé Plessé - Le Dresny

Grâce à Jean Claude Pilard, que je remercie une nouvelle fois, je suis en mesure de vous présenter le relevé de Plessé - le Dresny.

Le Dresny est l'un des 3 gros bourgs de Plessé, avec le Coudray.

Localisation.jpg

Le Monument aux Morts est le suivant :

MAM Blog.jpg

Les plaques nominatives, support de la recherche, sont les suivantes.

Plaque 1.jpg

Plaque 2.jpg

Le relevé de Plessé le Dresny se trouve au bout de ce lien : Relevé Plessé Le Dresny.xls